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L'islam n'est pas une religion : c'est un système politique totalitaire, misogyne, suprématiste, militaire et expansionniste. L'aspect spirituel n'est qu'une façade. L'islam dans son essence pure, tel qu'il a été défini au Xe siècle, est considéré comme religion de La vérité car : il est issu d'un coran incréé (descendant directement de la main de Dieu ; donc toute contestation est impossible), avec une primauté des versets médinois (qui appellent à la guerre) sur les versets mecquois (plus mystiques), et qui interdit toute pensée critique (la fermeture des portes de « l'ijtihâd ».)

Ceux qui soutiennent ce système dans sa totalité (c'est-à-dire l'instauration à terme de la charia) tenterons d'accéder au pouvoir, par voie démocratique, avec nos propres lois, notre propre constitution, en votant en masse pour petit à petit restreindre nos libertés jusqu'à ce que nous n'en n'ayons plus.

« Les chartes peuvent changer. Elles changeront lorsqu’une majorité sera musulmane, et sera radicale. Elles changeront par le triple jeu de l’immigration, de la démographie et des conversions. Selon toute vraie semblance, dans 100 ans, l’Occident sera musulman et il sera trop tard. »

L'islam est communautariste par nature puisque son idéologie contrôle toutes les sphères de l'individu qui le pousse à se distancer des "mécréants".

« Il ne vous est pas permis de travailler dans un endroit où vous recevez l'ordre de perpétrer un acte de désobéissance envers Dieu. Nous avons l'obligation d'obéir au Messager. Le fait de l'imiter dans ses mœurs et ses actes relève des meilleures œuvres. C'est dans ce sens que le prophète dit: "Quiconque s'assimile à un peuple en fait partie."»

Dès lors, les revendications qui relèvent du patriotisme ne sont pas tolérées si elles sont destinées à une patrie non musulmane.

« Il n'est pas permis de saluer le drapeau; Il faut appliquer la loi islamique à tous. il n'est pas permis au musulman de saluer les chefs et présidents comme le font les étrangers en raison de ce qui a été rapporté concernant l'interdiction de chercher à s'assimiler à eux et à cause de ce que le geste implique en terme de vénération à leur égard. »

« L'émigration vers un pays mécréant est une désobéissance et est comptée parmi les grands péchés, et que celui qui l'effectue encourre une menace de la part d'Allah. »

L'islam mêle son antisémitisme – antisionisme au politique.

« Et tuez les ; où que vous les rencontriez, et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre. (…) Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes. »
Sourate 2. 191-193.

Aïcha rapporta: « Alors que le Prophète était souffrant, certaines de ses épouses parlèrent d’une église qu'elles avaient vue en Éthiopie, du nom de Maria. 'Urn Salama et Um Habiba, s’étant rendus en Ethiopie, évoquèrent la beauté de l’église et de ses icones. Le Prophète leva la tête et dit: "lorsque l'un d’entre eux vient à mourir, ces gens-là (chrétiens et Juifs) battissent sur sa tombe un temple et y font ensuite ce genre d’icones. Ces gens-là sont les pires des créatures pour Allah."»  (Sahih Bukhari Livre 23, hadith 97)  
 
Avant de décéder, Aïcha rapporta les dernières paroles de Mahomet: « Qu’Allah maudisse les Juifs et les Chrétiens parce qu’ils ont pris les tombes de leur prophète comme lieu de prière. »  ( Sahih Bukhari Livre 23, hadith 86)

Puisque les sources théologiques justifient le mépris du juif, l'islam peut s'en servir sur l'échiquier politique.

«  Les juifs sont des traîtres auxquels on ne peut pas se fier. Il est impossible de réaliser l’entente entre eux; à moins que les uns subjuguent les autres par la force. (...) Les Juifs ne possèdent aucune part de Jérusalem puisque, même s’ils avaient jadis occupé cette terre, elle est redevenue par la suite une propriété des Musulmans. Nous avons plus de droits sur Jérusalem qu’eux puisque la terre n’appartient pas à celui qui, le premier, la met en valeur, mais à celui qui y applique le jugement d’Allah. Les Juifs ne sont que des agresseurs, usurpateurs. Nous demandons à Allah de débarrasser Jérusalem d’eux très bientôt. »

L'islam et le culte du chef.

Sous ses faux airs de religion, Mahomet a prétendu recevoir des révélations au gré de ses intérêts personnels, que Dieu lui parlait pour pouvoir se donner une légitimité en tant que prophète pour justifier ses crimes devenus actes sacrosaints. Négocier la protection de l'islam dans la constitution, c'est comme si on négociait la protection constitutionnelle du nazisme en tant qu'idéologie politique. Car la propagande nazi fonctionna ainsi : Hitler essaya de transformer son idéologie en culte (proche du paganisme) pour mieux amadouer les masses. Tous les totalitarismes fonctionnent ainsi : chaque personne a une prédisposition à vénérer quelque chose. Si vous enlevez la vraie religion du cœur des gens, ils vont vouloir combler ce vide en allant prêcher autre chose. Tous les partis politiques dis de "culte du chef", s'arment d'une rubrique liturgique pour pouvoir se légitimer.

« Alliance et hostilité doivent être décidés pour complaire à Allah. »

L'islam est la paix.

On associe souvent l'islam à la paix. La paix mentionnée ici est à placer dans le contexte de paix qui adviendra le jour où le monde sera totalement musulman et que tous les infidèles aient été exécutés. C'est d'ailleurs le but ultime de l'islam qui voit le monde d'une manière binaire : le musulman et le non musulman (appelé affectueusement le "mécréant"), avec le dar el harb "la maison de la guerre" et le dar el salaam "la maison de la paix." Un exemple du dar el salaam : l'Arabie Saoudite. Mais parce que l'islam théorise la duplicité, appelé "taqqiya", il est légitime de parler d'islam de paix, car la taqqiya autorise le mensonge si c'est pour le bien de l'islam. C'est le devoir de tout musulman dans le processus de conquête islamique. 

Il n'y a pas de spiritualité, ni de tolérance en islam. La tolérance se fait à partir du moment où vous acceptez d'adhérer à l'islam soit par le biais de la conversion, soit par le biais de la soumission (en devenant citoyen de seconde zone si vous êtes d'une autre religion, supposée qu'elle soit monothéiste).

« Il est en effet connu que selon les règles islamiques de base l’Islam doit prendre le dessus et pas le dessous et que fait partie des conditions de séjour des gens du Livre (chrétiens et juifs) parmi les musulmans leur observance des lois et règlements régissant le statut des protégés et leur garantissent sécurité et protection assurés par les musulmans. L’une des plus importantes de ces conditions stipule que les Gens du livre n’affichent pas leur mécréance et leur polythéisme en pays d’Islam, ni par la parole ni par l’acte. »

L'islam est une doctrine politico totalitaire qui englobe toutes les sphères sociales et culturelles du croyant. L'islam n'a que pour finalité la conquête du monde afin qu'il contrôle toute la terre. Dès lors, le jihad - le sixième pilier de l'islam - peut être appliqué (actif comme passif). D'ailleurs, que signifie "islam", si ce n'est soumission ?

Enfin, un hadith authentique de Sahih Al Bukhari est on ne peut plus clair, concernant tout musulman qui quitterait l'islam. (Volume 9, Livre 84, N°57)        

Narré par 'Ikrima:        

On amena des athéistes à Ali, et il les brûla. Lorsque cela fut rapporté à Ibn 'Abbas, il dit, "Si j'avais été à sa place, je ne les aurai pas brûlés, car le messager d'Allah l'a interdit en disant, "Ne punissez pas avec la punition d'Allah (le feu.)" Je les aurai tués selon les propos du messager d'Allah, "Celui qui quitte sa religion, tuez le."

 

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